Regarder le ciel par un après-midi d’été indien. Et découvrir le vol éphémère d’un oiseau vaporeux.

Regarder le ciel par un après-midi d’été indien. Et découvrir le vol éphémère d’un oiseau vaporeux.
Qui a dit que le climat normand était inhospitalier ? Pas pour ces arbres à palmes en tout cas.
Sans ironie aucune au regard de l’actualité rouennaise, mais parce que certains sites font partie de l’histoire de Rouen et de sa métropole, une photographie de l’esthétique des abords de voies ferrées (gare de triage, ateliers SNCF). L’esthétique urbaine, c’est donc beaucoup de géométrie, du rouillé, de l’amoncellement, voire de l’esthétique du déchet (mais ce sera pour une autre fois).
Avant l’incident incendie Lubrizol, du haut du Gros-Horloge, le blason (une partie) de Rouen : l’agneau. Que voit-on désormais ?
A l’orée des journées européennes du patrimoine, la vue du magnifique escalier, dit escalier des libraires, de la cathédrale Notre-Dame de Rouen. Touristique mais incontournable.
A Rouen, il y a la vieille ville, chargée d’histoire, de poutres et de quelques extravagances. Juste après Rouen, en continuant vers l’ouest, ce sont les boucles de la Seine, qu’il faut explorer, par les petites routes, pour en connaître les sites pittoresques ou grandioses.
Parmi eux, à Saint-Martin de Boscherville, l’Abbaye romane de Saint-Georges de Boscherville et ses jardins.